« Mbëkk mi », deux mots wolof qui évoquent l’émigration clandestine
Il y a ceux qui partent et tous ceux qui restent... Dans les deux camps, chacun doit vivre avec cette souffrance. Celle d'avoir "abandonner" les siens, pour sauver sa peau ou simplement parce que l'espoir d'une vie meilleure est le but ultime de tout être humain ou encore celle d'être abandonné, livré aux difficultés quotidiennes, à la honte sociale, etc. Un documentaire dont vous pouvez voir un extrait en cliquant sur le lien Youtube , vous donnera une idée des effets de ce